Les répercussions d’un canon

Joie dans nos coeurs! L’homme canon Le canonisé Frère André est maintenant un Saint! Il faut à partir de maintenant, avec tout le respect que nous lui devons (et même si on est un peu fâché d’avoir les genoux ensanglantés à chaque montée de l’oratoire Saint-Joseph), le nommé Saint-André-Bessette.

Quelles seront les répercussions de du Saint homme au sein de la communauté (en lice pour le Nobel du jeu de mot subtile)? Telle est la question posée en ce contexte sociétaire en ce début de seconde décennie du vingt-et-unième siècle (phrase longue qui ne veut rien dire, check). Beaucoup de langues sales diront que la religion catholique n’a plus de place dans le Québec contemporain, qu’il était trop tard pour qu’une canonisation ait un effet quelconque, que les miracles n’existent pas ou que Mac et Moi n’est pas un bon film, mais toutes ces personnes sont dans le tort!

J’ai même vu la preuve ce matin même, quelques heures à peine après la nouvelle Sainteté de Dédé.

En effet, lorsque je suis allé au bureau de la Société des transports de Montréal (Stm, pour les intimes), l’homme qui m’a servi a souri. Il a été aimable. Le monsieur de la cabine 2 à Berri à 11h am le lundi 18 octobre 2010. Il était gentil. Il ne m’a pas donné une vague envie suicidaire. Sérieusement, il n’y a pas de sarcasmes ici.

J’AI EU UN BON SERVICE À LA STM!

Ceci est la preuve que Saint-Frère-André veille sur notre belle province avec une attention particulière.

Si ce n’est pas un miracle, je me demande bien ce que c’est!

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