Comme j’adore le mois d’Octobre, l’Halloween et les films d’horreur, j’ai décidé de faire le premier Horreur-o-thon des Bipolaires! En effet, j’écouterai un film de peur par jour jusqu’au 31, alors revenez lire mes critiques quotidiennes…si vous en avez le courage! MOUAHAHAHAAA!
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Après An American Werewolf In London, voici un autre film culte de loups-garous célèbre grâce à ses effets spéciaux saisissants! Le film de 1981 de Joe Dante commence avec Karen (Dee Wallace) qui va rencontrer face à face son admirateur/meurtrier, avec l’aide de la police. Une fois le malfrat bougre mécréant méchant tué par la police, un psy recommande à Karen de partir pour une semaine dans une retraite champêtre afin de se ressourcer au sein d’une communauté expérimentale. Mais, certains membres ne sont pas aussi inoffensifs qu’ils en ont l’air…DUN-DUUUN!
Tout comme son homonyme, The Howling comporte une des scènes de métamorphoses les plus réussies et terrifiantes du cinéma d’horreur. En effet, du même artiste que les maquillages de The Thing, les conceptions cauchemardesques font le succès du film. De plus, le scénario mélange les clins d’oeil aux films de loups-garous avec une parodie des psy/gourous new age charlatans. Par contre, Karen est un des pires personnages féminins que j’ai vus, étant constamment kidnappée, terrorisée, braillarde, émotive, inefficace, idiote et banale. Bref, une vraie femme, quoi! (bienvenue à un show d’humour de 1925!). Malgré tout, un des meilleurs films modernes de loups-garous!
Note finale: 8/10
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Meilleure citation: « Sorry to scare you, ma’m, thought you was a cowjacker. » (un fermier connaît la vie dure de la campagne)
Meilleure mort: L’amie de Karen qui a une confrontation longue (et douloureuse) avec un loup-garou. Elle lui coupe une patte; il lui arrache la gorge. C’est fair.
Y’as-tu des tits?!: Oui, dans un film porno présenté dans un cinéma XXX. Comme AAWIL d’ailleursL…
Saviez-vous que…: Rick Baker a quitté le projet pour aller faire le maquillage de…AAWIL!