Archive pour The Omen

Jour 14: « The Omen »

Posted in films, Le Horreur-o-thon du Boucher, mort with tags , , , , , on 14 octobre 2009 by Le Boucher du West Island

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Comme j’adore le mois d’Octobre, l’Halloween et les films d’horreur, j’ai décidé de faire le premier Horreur-o-thon des Bipolaires! En effet, j’écouterai un film de peur par jour jusqu’au 31, alors revenez lire mes critiques quotidiennes…si vous en avez le courage! MOUAHAHAHAAA!

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Je serai bref car je veux aller faire dodo.  La vague de films d’horreur/thriller à connotations religieuses des années 70 était vraiment une mine d’or pour le genre.  The Exorcist, Rosemary’s Baby et The Omen sont tous excellents et déstabilisants, mettant en scène des enfants et/ou des mères.  Dans The Omen, la terreur est provoquée surtout par le fait qu’un enfant est supposément le fils du Diable.  En effet, un être censé être protégé doit maintenant être tué…par son père.  Le dilemme est mis en lumière tout au long du film, autant par le personnage principal (Gregory Peck) que par le spectateur lui-même, qui hésite à vouloir la mort du bambin (mot copyright TVA).  Finalement, même si vous n’êtes pas des fanatiques religieux (en fait, SURTOUT si vous n’êtes pas des fanatiques religieux!), vous aimerez l’atmosphère lugubre et fataliste de The Omen de Richard Donner.

Note finale: 8.5/10

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Meilleure citation: « Have no fear, little one… I am here to protect thee. » (La nounou de l’enfer!)

Meilleure mort: Keith le photographe perd la tête! HAHAHA! Quel jeu de mot exquis!

Y’as-tu des tits?!:  Non.

Saviez-vous que…:  Il y aurait une malédiction après le film? Voici in extrait de IMDB:

Having changed its title from « The Antichrist » to « The Birthmark, » the film seemed to fall victim to a sinister curse. Star Gregory Peck and screenwriter David Seltzer took separate planes to the UK…yet BOTH planes were struck by lightning. While producer Harvey Bernhard was in Rome, lightning just missed him. Rottweilers hired for the film attacked their trainers. A hotel at which director Richard Donner was staying got bombed by the IRA; he was also struck by a car. After Peck canceled another flight, to Israel, the plane he would have chartered crashed…killing all on board. On day one of the shoot, several principal members of the crew survived a head-on car crash. The jinx appeared to persist well into post-production… when special effects artist John Richardson was injured and his girlfriend beheaded in an accident on the set of A Bridge Too Far (1977).



Jour 4: « Psycho III »

Posted in films, Le Horreur-o-thon du Boucher, mort, noir with tags , , , , , , , , , , on 4 octobre 2009 by Le Boucher du West Island

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Comme j’adore le mois d’Octobre, l’Halloween et les films d’horreur, j’ai décidé de faire le premier Horreur-o-thon des Bipolaires! En effet, j’écouterai un film de peur par jour jusqu’au 31, alors revenez lire mes critiques quotidiennes…si vous en avez le courage! MOUAHAHAHAAA!

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Ce soir, j’allais regarder The Omen, mais les vigilants employés du Blockbuster de Kirkland m’ont donné le remake. En allant l’échanger tantôt, il n’y avait plus de copies de l’original.  Alors, j’ai sélectionné Psycho III de ma collection personnelle. Je vous entend déjà me dire « pourquoi t’écoute la DEUXIEME suite du classique de Hitchcock?! ».  Eh bien, parce que j’ai tellement vu l’original souvent que je le connais par coeur et que j’ai réécouté Psycho II récemment.  Par ailleurs, les suites du film du maître du suspense sont bien meilleures qu’elles en ont l’air.

Malgré le fait que Psycho II soit meilleur, le troisième volet est assez réussi, réalisé par Norman Bate en personne, Anthony Perkins.  Le tueur en série retombe encore une fois dans la folie, à cause de sa mère squelettique. Par contre, une ex-nonne suicidaire (oui oui) arrive dans sa vie, lui rappelant Marion Crane, son coup de foudre qu’il avait trucidé sous la douche.

Le personnage de Norman Bates vit des expériences intriguantes dans ce volet, tentant enfin d’avoir une relation amoureuse sans qu’elle ne se termine en bain de sang.  Perkins a maintenant Norman Bates tatoué dans l’esprit et atteint encore une fois toutes les notes justes, en se permettant de beurrer plus épais à quelques reprises. De plus, sa réalisation est plutôt impressionnante, usant d’éclairages psychédéliques et d’effets de caméra insolite pour donner un aspect surréel au film.

Réalisé en 1986, au sommet des slashers, les redondantes scènes de meurtres semblent davantage tirés des Friday the 13th, mais ce sont les conséquences pour le personnage de Norman qui sont plus intéressantes à voir, lui qui est toujours à un cheveu de perruque de vieille dame de se faire prendre.  Bref, bien que la série Psycho aille en se dégradant (un quatrième film/prequel pour la télé a aussi été fait, mais ça ne vaut pas la peine d’en parler), Psycho III est tout de même divertissant et propose une fin satisfaisante pour Norman Bates et sa mère.

Note finale: 7.5/10

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Meilleure citation:

Nonne: -« I must’ve made an awful mess of your bathroom. »

Norman: « Oh, I’ve seen it much worse. »

Meilleure mort: La rousse dans la cabine téléphonique (hommage à la douche?).

Y’as-tu des tits!?: Oh ouais. La rousse ci-dessus a les globes du plaisir visibles pendant un bon 10 minutes.

Saviez-vous que…: Antony Perkins voulait tourner le film en noir et blanc, mais Universal a dit « uhmm…non ».

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