Archive for the Bourreaux de travail Category

Bourreaux de travail 3 : le poulet contre-attaque dans un débat de mathématiques

Posted in Bourreaux de travail, rose, sexe on 28 avril 2011 by arrachecoeur

Même Pablo Picasso (que nous nommerons ici Big Pabs’ parce qu’on a gardé les cochons ensemble) n’a pas commencé avec des pinceaux sur une toile de qualité. 

Il a lui aussi dessiné sur ses pupitres à la petite école.

Le mardi, nègre, est la journée du poulet au PFK, selon ce chef-d’oeuvre. C’est une bonne chose à savoir, car si on cherche une vedette rap, un joueur de basket-ball ou P.K. Subban, nous saurons où chercher si nous sommes mardi. En ce qui concerne les autres jours de la semaine, je dois avouer que je l’ignore. J’espère le savoir bientôt.

Alors que la conversation ici s’avère complètement incompréhensible, un fin observateur a pu trouver l’origine de ces messages. J’imagine que l’on peut trouver ces écrivains le mardi au PFK? Ou au Amir…

Ici, toujours dans la même veine de haine, Bob l’éponge nous dit fuck off bitch. Pourquoi pas? Je lui conseille d’aller au mardi PFK pour le dire aux gens, voir quelle sera leur réaction.

Ici, on nous annonce que l’auteur a gagné un débat mathématique. Comprends-je, me demande-t-il? Comme les choix de réponses sont Non et Non, je dois avouer que ma réponse est non. 

Ici aussi, on aime les mathématiques. C’est un mode je crois. À moins que ce soit la masturbation (dites la phrase rapidement, ceux qui n’ont pas compris).

Pour conclure, on a ici un bonhomme avec une tête gargantuesque qui dit que cette place suce. J’ignore si cela a un lien avec le débat de mathématique, mais bon, le saurons-nous un jour?

Bourreaux de travail 2 : (j’attends des félicitations pour l’assiduité)

Posted in Bourreaux de travail, rose on 9 avril 2011 by arrachecoeur

Il ne s’écoule pas beaucoup de temps avant que de beaux bureaux propres et brillants deviennent un véritable mur facebook d’adolescente qui doublee des vooyelles de façoons impromptuee surtoutt les voyellees muettees!

J’avais déjà expliqué le fabuleux principe qui explique que si on écrit son nom quelque part, il est évident que la personne chargée de nettoyer toute la saleté accumulée va savoir qui blâmer.

Donc, si je vois sur un bureau Hassaan wuz herez, je sais que je dois donner un coup de vieille guénille pleine de produit nettoyant à bureaux à Hassaan.

Voici donc une belle conversation dans laquelle Andreanne-la-slick se fait prendre à écrire sur un bureau parce que, dans un élan de logique profond, a décidé d’écrire qui elle était ( au marqueur permanent, qui plus est).

Son destinataire, par contre, réussit quand même bien à ne pas se faire prendre en jouant la carte de la personne mystérieuse qui se défini par  try to recognize me XD.

J’aimerais savoir, toi le jeune, quand est-ce que le bonhomme sourire est devenu les yeux bien fermés et la bouche bien ouverte. J’apprécirais une date précise à laquelle l’évolution s’est produite, car je n’ai jamais vu venir cette nouvelle tendance sur-expressive de caractères.

Voici ici un autre cas où Germaine a cru une bonne idée d’écrire son nom sur le bureau en se disant for probablement que personne ne saurait jamais qui est cette mystérieuse demoiselle. Notez bien qu’il n’y a que très rarement plus de deux Germaine par école (et non, ce n’est pas un nom de code, elle existe).

Ici, un peu plus stratégique, des gens ont tenté de camoufler leur véritable identité à l’aide d’initiales. N’empêche que tous les enseignants ont normalement un plan de classe, alors c’est encore une fois raté, la corvée ménage de bureau viendra autant que pour nos deux autres camarades au-dessus. Tant pis, mon cher Popo’z.

Ici, nettement plus intelligent, on ne s’est contenté que de dessiner le plus laid dessin de punk au monde, sans écrire son nom sur le bureau. Grâce à cette Joconde, je reprends foi en l’humanité.

Malgré tout, certains s’opposent à cette chronique et me font une pression morale pour que je cesse de publier toutes ces jolies images qui me prennent de longues minutes à effacer à tous les jours.

Espérez toujours, bande de petits picassos.

Bourreaux de travail 1 : le commencement

Posted in Bourreaux de travail, rose, sexe on 31 mars 2011 by arrachecoeur

Aujourd’hui j’inaugure une nouvelle catégorie! EH OUI! J’entends déjà mes collègues me sussurrer tendrement à l’oreille : Câlisse, dude, pas une autre affaire que tu vas faire une fois ou deux et qui va sombrer dans l’oubli?! La réponse est OUI messieurs!

Dans une école secondaire, le principal mode d’expression / communication avec autrui / défoulement n’est pas le papier, encore moins la voix et ENCORE MOINS l’art scatologique (ils ne sont pas si fous, ces adolescents, après tout), mais, et tenez vous bien, L’ÉCRITURE SUR LES BUREAUX!

Le pupitre est un mode de communication très répandu et très populaire en 2011. Je dirais même qu’il est plus utilisé que facebook, twitter et l’agonisant MSN qui ne survivra peut-être pas à la compétition du facebook chat.

Cette rubrique portera donc sur les chefs d’oeuvre que nos amis les ados font sur les pupitres lors de leurs cours qui pourtant devraient être passionnants.

La première oeuvre aujourd’hui présentée deviendra l’image thème de cette rubrique. Une fan du blogue (et de moi-même) a bien voulu faire cette oeuvre guérilla. S’il s’avérait qu’elle n’était pas une fan, c’est probablement parce que son coeur a été arraché par le méchant Justin Bieber, le-gars-qui-se-coupe-les-cheveux-et-fait-chier-toutes-les-petites-filles-en-même-temps.

Et si c’est un gars qui a fait ça eh bien… apprends à devenir un homme, ti-gars.

Ici, nous avons quelque chose d’assez fréquent sur les bureaux : une conversation. En effet, les conversations sont plus souvent rencontrées que les dessins, mais ne détrônent pas les très populaire : HASSAN WUZ HERE. (Bien sûr, le-dit Hassan se fait engueuler après et n’a aucune idée comment le génie de professeur ou concierge a su que c’était lui). On voit bien dans cette conversation les deux solitudes canadiennes. Premièrement, l’anglais demande gentiment qui se trouve là. Tout va bien jusqu’à ce qu’un idiot de français ne comprenne rien à la question et réponde à la question : quel est ton plus grand fantasme. Notez bien ça pour les élections : l’anglais et le français ne peuvent cohabiter sans malentendus. C’est compris, Señor Harper?

Je termine cet article avec le dessin qui a fait ma journée. Eh oui, un élève ayant trop écouté Superbad a décidé qu’il voulait exprimer son désir phallique refoulé sur le bureau. On voit effectivement que l’élève ici est en grand manque de pénis dans sa vie et cela le frustre (d’où les doigts d’honneur freudiens). Heureusement, ce défoulement a un tant soit peu régler le problème de notre ami, puisqu’il a tout de même décider de faire sourire notre ami le pénis. Ou sourit-il à cause de sa coupe de cheveux champignon? Nous ne le saurons jamais.